Je termine (généralement) mes journées vers 15 h 30/16 h.
Je ne travaille (généralement) pas le vendredi.
Et j’essaie de prendre le plus de vacances possible.
Certains me disent : « coudonc, Bertrand, tu te la coules douce ! »
Mais on oublie trop souvent que le bonheur… alimente la qualité du travail.
Être heureux n’est pas un signe de paresse.
C’est un avantage compétitif.
Au bureau, mon cerveau est 100 % dédié à mes clients.
À l’extérieur, il est 100 % dédié … à autre chose.
Du moins, j’essaie !
Se bâtir un rythme de vie à un son goût n’est pas un signe de paresse.
C’est une nécessité!
Beaucoup valorisent grandement le fait d’être occupé 24/7.
Mais par expérience, être occupé n’est (absolument) pas synonyme de productivité!
Si je suis capable de faire une semaine de 6 jours en 4 jours; ou une année de travail en une demie; et de passer mon temps libre auprès de mes enfants, ma femme… ou à préparer mon bouillon de poulet, pourquoi m’en passerais–je?!
Apprendre à se choisir demande du temps.
Et du courage.
Mais la libération qui en découle en vaut la chandelle!
Essayez-le et donnez m’en des nouvelles 😉
b.