Une abonnée de l’infolettre m’écrivait récemment pour me raconter son histoire, qu’elle a accepté que je partage ici :
Une artiste.
Un festival.
Un contrat de diffusion — cachet, date, heure et conditions spécifiques…
incluant stationnement gratuit et repas.
Le jour venu, on lui annonce qu’il n’y avait pas de stationnement… ni de repas.
Elle retourne voir le contrat, pourtant certaine de l’avoir bien lu; et montre ensuite les passages pertinents au responsable.
On lui répond, tout bonnement : désolé, le contrat qui t’a été envoyé est un modèle générique, cette clause ne s’applique pas dans ton cas.
Incroyable!
Autrement dit : on s’est engagé à X, mais on appliquera Y.
Sans vergogne!
–
S’il faut le rappeler: le contrat, c’est la loi des parties !
Si une personne s’engage contractuellement, elle doit respecter ses obligations.
Ou dédommager l’autre partie.
Ce qu’on voulait dire, on s’est trompé de modèle, on n’aurait pas dû l’inclure, ça ne s’applique pas à toi…
ne sont pas des réponses acceptables.
Encore moins de la part de celui ou celle qui fournit l’entente!
La moindre des choses aurait été d’honorer l’entente…
et de modifier le gabarit pour les prochaines fois !
–
Bonne journée!
b.