29 janvier 2025

Pas d’argent pour un.e représentant.e

Un ami et client qui œuvre depuis déjà longtemps dans le milieu de la musique à l’image m’avouait récemment sa fatigue à l’égard des relations administratives avec ses clients : 

  • la prise de contact ; 
  • la négociation des modalités de l’entente ;
  • l’ajustement final du contrat ; 
  • les relances auprès du client pour valider les versions transmises ;
  • la gestion des demandes de modifications interminables ; 
  • et par association, la renégociation des modalités financières, compte tenu des multiples volte-face du client.

« Mais pourquoi ne pas approcher une agence pour tes besoins de représentation ?

— Souvent, le cachet global ne le justifie pas — ce 10-15 % de commission à l’agence représenterait ma marge de profits. »

Je comprends — bien sûr.

Toutefois, si ces procédures administratives affectent la portion créative du mandat, un problème demeure.

Au-delà de mieux choisir les clients, la solution pourrait éventuellement être d’augmenter sa marge de profits… 

en réévaluant ses tarifs,

et en tenant compte de l’administration inhérente à ce type de mandat…

ce qui permettra éventuellement d’intégrer

l’agence qui prendra en charge cette portion contraignante !

(Et cela, sans compter que le rôle de l’agence inclura aussi l’obtention de cachets supérieurs ; ou conséquents avec les besoins de la commande !)

b.