Un ami et client qui œuvre depuis déjà longtemps dans le milieu de la musique à l’image m’avouait récemment sa fatigue à l’égard des relations administratives avec ses clients :
- la prise de contact ;
- la négociation des modalités de l’entente ;
- l’ajustement final du contrat ;
- les relances auprès du client pour valider les versions transmises ;
- la gestion des demandes de modifications interminables ;
- et par association, la renégociation des modalités financières, compte tenu des multiples volte-face du client.
« Mais pourquoi ne pas approcher une agence pour tes besoins de représentation ?
— Souvent, le cachet global ne le justifie pas — ce 10-15 % de commission à l’agence représenterait ma marge de profits. »
Je comprends — bien sûr.
Toutefois, si ces procédures administratives affectent la portion créative du mandat, un problème demeure.
Au-delà de mieux choisir les clients, la solution pourrait éventuellement être d’augmenter sa marge de profits…
en réévaluant ses tarifs,
et en tenant compte de l’administration inhérente à ce type de mandat…
ce qui permettra éventuellement d’intégrer
l’agence qui prendra en charge cette portion contraignante !
(Et cela, sans compter que le rôle de l’agence inclura aussi l’obtention de cachets supérieurs ; ou conséquents avec les besoins de la commande !)
b.