Ma toune.
Mon projet.
Ma carrière.
Ou toute autre variante.
Comment prévoir que mes collaborateurs — ceux qui co-écrivent avec moi — ne contrôlent pas les œuvres musicales qu’on crée ensemble ?
En théorie, ces collaborateurs ont co-écrit.
Ils sont donc co-propriétaires de cette co-création… de cette œuvre musicale.
Et qui dit propriétaire, dit contrôle.
Jusqu’ici, rien de surprenant.
C’est logique et conforme aux usages de l’industrie.
Toutefois, les choses peuvent être différentes.
En pratique, beaucoup ne remettent pas en question cette collaboration.
Ils souhaitent toutefois conserver un certain contrôle sur l’œuvre musicale créée… ne serait-ce qu’en cas de synchronisation.
C’est précisément l’intérêt d’une entente de répartition : vous pourriez notamment déterminer que chacun conserve ses droits, mais que vous êtes désigné.e comme étant celui ou celle qui contrôle les décisions relatives à l’œuvre musicale concernée.
Bien à vous,
b.
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PS : Vous ne savez pas par où commencer pour rédiger cette entente de répartition ? Vous en trouverez un modèle dans mon Menu à la carte : www.menonb.ca/menu