La semaine dernière, je réalisais que la fin d’année est à nos portes.
Avec la charge de travail et les urgences que cela implique, sur ma table de travail.
Donc, lundi matin, le plan de ma semaine était clair.
Tous les blocs de la semaine étaient planifiés, ou presque.
Mon agenda était prêt ; organisé avec son code de couleurs.
La semaine filait à bonne allure.
Jusqu’à ce qu’hier soir,
en plein souper,
mon fils vomisse l’entièreté de sa journée.
Nous annonçant la 11e plaie d’Égypte :
une gastro.
Et que ma conjointe me rappelle qu’elle doit impérativement aller à Montréal le lendemain.
Et que pour comble, ma nuit soit ponctuée par une chorale de 3 enfants,
réveillés par la crisette nocturne du bébé frère.
Me voici donc ce matin à écrire ces lignes.
Et à repenser ma journée, qui s’avérera certainement beaucoup moins productive qu’envisagée.
À maudire ce virus maléfique.
Mais aussi à me rappeler
que les imprévus font partie de notre quotidien
et de la vie.
Bref, qu’on ne peut pas tout contrôler.
Et que c’est la réalité de tous.
Bonne journée pleine d’imprévus !
b.