J’ai déjà eu cet ami qui, à travers toutes ses qualités, avait un horrible défaut : il se croyait au-dessus de tout… principalement de la loi et du danger. Son grand point d’honneur : faire Montréal/Lachute en 30 minutes.
Je n’ai jamais su si cette histoire était vraie, mais semble-t-il que pour ce faire, il devait rouler à 250 km/h sur l’autoroute 50, sur sa moto sport — à ses dires, il n’y avait jamais aucune police sur une certaine portion de la route. Il l’avait fait des centaines de fois, sans se faire arrêter — au-cu-ne po-li-ce.
Jusqu’au jour où c’est arrivé. Qu’il a perdu sa moto et son permis, et gagné le gros lot des constats d’infraction. Je l’ai perdu de vue peu après.
Récemment, un client a remis en question mon conseil de préparer des ententes de libération de droits pour l’ensemble de ses collaborateurs sur son album : ça fait 10 ans que je produis des albums, et je n’ai jamais fait signer ce type de contrats; j’ai toujours seulement fait des factures.
Je lui ai rappelé l’histoire de mon ami… en lui mentionnant qu’il suffit d’une fois pour comprendre que certaines règles doivent être respectées si l’on souhaite être protégé.
Nous avons ensuite préparé les ententes.
b.
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N.B. J’ai créé un Menu à la carte, où vous trouverez justement des modèles de contrats simples, accessibles et complets ! Allez y jeter un coup d’oeil –> www.menonb.ca/menu