Ces jours-ci, je suis plongé dans la plus récente saison de la compétition musicale Nouvelle École, diffusée sur Netflix (adaptation française de la série Rhythm + Flow).
Moins sur le bout de ma chaise que certaines autres saisons, mais c’est toujours un plaisir de suivre la compétition… et SCH!
Le défi d’hier : les samples (échantillons).
Chaque candidat se fait imposer un sample et doit créer une œuvre originale… qu’il présentera ensuite devant public.
J’étais évidemment curieux de savoir quel sample serait attribué aux candidats… mais surtout, je ne pouvais pas m’empêcher d’imaginer le casse-tête juridique que cela a dû être pour la production !
Étape 1 : Obtenir le droit d’échantillonner.
Pour utiliser un sample afin de créer une œuvre inédite, des autorisations sont évidemment nécessaires.
De la part de tous ceux qui ont des droits sur ce sample.
→ Les auteurs et compositeurs (ou leurs éditeurs) : pour la portion œuvre musicale du sample.
→ Le producteur (généralement la maison de disques): pour la portion enregistrement sonore du sample.
Encore confus sur la distinction entre l’enregistrement sonore et l’œuvre musicale ? Petit rappel ici.*
* Il existe généralement 2 facettes à un sample : une première qui concerne les paroles et la musique (oeuvre musicale), et l’autre qui concerne l’enregistrement sonore incorporant ces paroles et musique.
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À l’image des coupures frustrantes des fins d’épisodes de Nouvelle École, je vous invite à lire les prochains courriels pour la suite !
b.