Je me permets de revenir une dernière fois sur le sujet (pour le moment) pour faire suite à mes textes de la semaine dernière : les gros méchants producteurs ne sont pas si nombreux.
Ils sont même plutôt rares.
Oui, la dualité entre les producteurs et les artistes fait partie intégrante du folklore de l’industrie.
Oui, lors d’une négociation, les intérêts sont parfois opposés.
Oui, il y a eu (il y a et il y aura) des histoires d’horreur.
Mais la réalité est qu’une vaste majorité des acteurs de l’industrie le font par passion.
Pour l’amour du métier et d’une culture qui peut très rarement se permettre de tourner le dos à la solidarité.
Des relations lumineuses et fructueuses, j’en côtoie au quotidien – bien plus que des drames!
Maintenant… comment trouver/conserver ces collaborations ? En prenant le temps de :
- CHOISIR son ou sa partenaire;
- NÉGOCIER les paramètres de cette association;
- NOURRIR sa relation.
Je reste toujours disponible pour en discuter.
b.