Arf… dépenser de l’argent pour des outils juridiques – quelle tristesse!
Quelle dépense chère et plate.
En effet, acheter un contrat pour la gestion interne des affaires d’un groupe; ou pour engager le prochain réalisateur de l’album… c’est moins intéréssant que se procurer une nouvelle guitare vintage.
Mais le point de comparaison n’est pas le bon.
C’est l’équivalent de comparer
- sa nouvelle assurance de maison avec le couteau japonais qu’on aurait voulu;
- son cadenas de vélo avec une paire de jeans;
- son abonnement de téléphone avec une grande soirée au restaurant.
Le plus utile est de comparer le contrat… au risque potentiel évité:
- rédiger une entente de groupe… ou ne pas avoir d’entente lorsque le chanteur quitte en pleine tournée et ne souhaite plus que l’album soit licencié à une maison de disques;
- avoir une entente avec le réalisateur… ou attendre qu’il cesse de travailler en plein enregistrement et conserve toutes les pistes comme monnaie d’échange;
- prendre le temps de s’entendre avec son conjoint… ou laisser les frustrations personnelles décider du sort des enregistrements fraîchement produits ou des derniers chèques cumulant $25K reçus par les sociétés de gestion.
On le sait, se procurer un contrat n’a pas l’effet réparateur d’un bien de consommation.
Mais il faut le voir comme il est :
un investissement // une paix d’esprit.
Il ne sert pas à grand chose… jusqu’au jour où…
Vous le savez maintenant, si vous cherchez des modèles de contrat simples, accessibles, standardisés, j’ai ce qu’il vous faut (en partie), juste ici : www.menonb.ca/zoneartistes
Sinon, je reste toujours disponible pour en discuter 🙂 !
Bonne journée!