Certains clients s’exaspèrent de n’avoir jamais eu de transparence quant aux chiffres ; ou, encore pire, de n’avoir jamais été payés.
Or, dans la majorité des ententes (écrites, du moins), on retrouve habituellement une section traitant de la comptabilité ; des obligations pour le contractant de fournir des rapports ; et de la possibilité pour la signataire de vérifier ses livres.
Bref, l’entente prévoit généralement* des obligations de transparence et des mécanismes de vérification — dès lors qu’une partie doit à l’autre des revenus de façon ponctuelle (p. ex., des redevances).
UTILISEZ-LES !
Je ne sais pas ce qui m’exaspère plus entre un éditeur/maison de disques/gérant/producteur de spectacles qui ne fournit aucun état de compte… et un.e artiste qui ne soulève jamais ce défaut contractuel — et qui laisse filer les mois/années sans questionner cette situation problématique !
Au risque de me répéter : il incombe au partenaire de traiter correctement son vis-à-vis, dans les règles de l’art ; mais il appartient aussi à l’autre partie d’être vigilant et responsable !
Il faut être deux pour danser le tango !
Demandez à voir vos chiffres.
Fournissez vos chiffres.
Tout le monde en sortira plus heureux !
* (Évidemment, dans le cas contraire, assurez-vous que la vôtre en inclue !)
Bonne journée !
b.