Une cliente me disait ces derniers jours : « j’aurais dû m’écouter et faire le contrat UDA plus rapidement. Maintenant, il m’annule et je reste prise avec mes problèmes. »
Je compatissais et tentais de l’aider à trouver une solution…
jusqu’à ce que je découvre une longue chaine de courriels… confirmant entre autres :
- les dates de tournée ;
- les cachets ;
- les engagements sommaires de chacune des parties ;
- et l’accord des 2 parties sur ces éléments.
Ces courriels illustraient très clairement l’intention des parties de collaborer, à ces conditions.
Autrement dit, l’entente est close — il ne restait qu’à formaliser le tout dans un document officiel.
Mais les courriels pouvaient sans problème servir à démontrer qu’une entente était intervenue.
Et que les parties étaient liées.
Et que ma cliente resterait peut-être prise avec une partie des problèmes… mais qu’elle aurait au moins un certain levier pour obtenir un dédommagement !
Morale: conservez et archivez vos courriels.
Bonne journée !
b.