Tout contrat devrait contenir les contreparties respectives des parties.
L’un cède ses droits, l’autre s’engage à offrir certains services.
Toutefois, bon nombre de contrats d’édition mentionnent simplement que l’éditrice s’engage à assumer les obligations généralement reconnues aux éditeurs dans l’industrie musicale.
Rassurant, n’est-ce pas ?
Mon conseil : assurez-vous d’inscrire le plus clairement possible l’ensemble des représentations et promesses qui vous sont faites avant la signature.
L’éditrice vous a mentionné :
- détenir un réseau très important de contacts dans l’industrie audiovisuelle ?
- avoir des employés dédiés à temps plein aux pitch de synchronisation ?
- avoir l’intention de vous mettre en contact avec d’autres créateurs, dans le cadre de camp d’écriture en Europe ou aux États-Unis ?
- avoir un système comptable et des processus internes remarquables, permettant une collecte de redevances extraordinaire ?
- avoir les moyens de vous soutenir financièrement?
- avoir des résultats particulièrement positifs et constants en matière de pistage radio ?
Faites-le écrire au contrat !
C’est précisément l’intérêt d’avoir une entente : ne rien laisser au hasard.
Et vous assurer un minimum de protection.
Je reste disponible !
b.