Un de mes clients l’a récemment appris à la dure :
Un producteur TV souhaitait inclure une de ses chansons à un épisode, et tentait donc d’obtenir les autorisations nécessaires de la part de mon client… et de ses deux co-auteurs.
Tout le monde était excité, sauf l’un des co-auteurs… qui ne répondait tout simplement pas.
Après plusieurs relances toute la semaine, le producteur TV s’est impatienté et en a finalement choisi une différente pour sa scène.
Quelques milliers de dollars perdus.
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Tout cela aurait pu être évité si :
- le co-auteur avait été à son affaire (…);
- mon client avait eu une entente* avec ses collaborateurs concernant les droits et les décisions liées à l’utilisation de leur oeuvre – cette entente aurait pu le désigner pour parler au nom de tous, dans le cas d’une demande de synchronisation par exemple.
Commencez-vous à constater la constante? Les ententes!
* Si cela vous intéresse, vous trouverez un modèle d’entente de répartition dans mon Menu à la carte, juste ici → www.menonb.ca/menu
b.