« Reste propriétaire de tes bandes maîtresses ; profite de tes droits voisins ; garde le contrôle sur ton album, etc. »
Ce genre de conseils fuse au sein de toutes les sphères indépendantes et underground.
Non pas sans raison puisqu’il existe évidemment un réel intérêt à garder la mainmise sur son projet et à bénéficier de tous les revenus qui en découlent — évidemment, pour autant que les capacités financières et administratives le permettent !
Car beaucoup omettent de mentionner que l’autoproduction implique de nombreuses responsabilités de production : financement, rémunération des musiciens, des techniciens, du réalisateur, de l’arrangeur, du studio ; respect des ententes collectives ; organisation des horaires de répétition et d’enregistrement ; mixing et mastering ; graphisme, pochette et duplication ; et… signature des ententes nécessaires à l’exploitation des enregistrements sonores !
Donc avant de remettre en question toute votre organisation et votre parcours, assurez-vous de comprendre pleinement ce dans quoi vous vous embarquez !
Et quand vous déciderez que c’est la bonne voie — contactez-moi ! (dans le cas contraire aussi, avec plaisir)
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Étape cruciale de l’autoproduction : avoir ses outils contractuels essentiels en mains et les utiliser! Rendez-vous sur mon Menu à la carte pour trouver des modèles de contrats simples, accessibles et complets : www.menonb.ca/menu
b.