L’éditeur peut être un partenaire central dans un parcours… pourvu que le contexte s’y prête !
Dans le cas contraire, la collaboration risque de ne rien apporter et s’avérer inutile…
un peu comme un individu déclarant un revenu d’environ $25K/année, mais qui souhaite se faire accompagner par un fiscaliste à tarif astronomique pour l’orienter dans sa planification fiscale.
Voici 5 raisons qui militent en faveur d’une signature (idéalement, au moins une doit s’appliquer) :
- L’éditeur a une structure administrative importante, qui lui permet d’administrer et d’assurer une gestion saine des droits qui lui sont accordés ;
- L’éditrice a un vaste réseau de contacts (pertinents et que vous n’avez pas déjà) ;
- L’éditeur a une expérience et des connaissances approfondies sur l’industrie musicale (des connaissances maîtrisées sur l’édition musicale est un minimum !)
- L’éditeur a un réseau de relations important dans le domaine de l’audiovisuel et de la synchronisation ;
- L’éditrice offre différentes options de contrats, et des conditions contractuelles intéressantes ou moins restrictives que les traditionnels « tout pour toujours ».
Certains veulent à tout prix signer un contrat d’édition — récemment, une cliente cherchait désespérément un éditeur… pour m’annoncer quelques minutes plus tard qu’elle n’écrivait/ne composait pas ses œuvres !
Pour dire comment la tentation est forte !
Considérant la portée des droits accordés et la longévité inhérente aux relations éditoriales (très souvent à vie), il est important de choisir son partenaire et d’établir sa capacité à fournir les services envisagés.
b.